Il y a quelques années, notre pays a souffert d'une sécheresse grave, au point que l'on s'est inquiété à la fin de l'été de savoir comment refroidir les réacteurs nucléaires des centrales situées le long de cours d'eau presque asséchés. La proposition visant à prendre en considération une notion aussi importante que l'impact climatique dans les études de danger me paraît bienvenue, et je suis ennuyé de ne pas y avoir pensé. C'est la raison pour laquelle je suis, à titre personnel, favorable à l'amendement, même si la commission y a donné un avis défavorable. Mme la secrétaire d'État aura certainement des choses intéressantes à dire à ce sujet.