L'argumentation est la même, mais j'ajouterai que nous ne disposons actuellement pas d'outils, ou très peu, pour les produits importés. À l'époque où s'appliquait le coefficient multiplicateur, il était possible d'en jouer : si ce coefficient était de 2, la marge était de 1 euro pour un produit acheté 1 euro, et de 0,5 euro s'il avait été acheté 0,5 euro, soit une marge – et donc un bénéfice – moindre pour la grande distribution. En revanche, je ne vois malheureusement pas comment on peut jouer aujourd'hui sur des prix cassés par l'importation si on n'applique pas des contraintes, des limites.