Nous entendons les arguments du rapporteur général. Toutefois, nous notons que le chiffre d'affaires de la filière a diminué de 70 % en quinze ans. S'il convient d'évaluer les effets de ce crédit d'impôt créé en 2006, il faut tenir compte des délais que nécessitent les projets phonographiques et donner de la visibilité à cette filière qui fait la fierté de la France en termes de soft power. Je remercie le ministre pour son avis et invite mes collègues à soutenir cette filière qui en a bien besoin.