Et armez-vous d'une armure, car ennemi il y a : ce migrant invasif, le frelon asiatique. Votre armure est certes cabossée, quelque peu éventrée, des batailles que vous avez perdues à force de ne pas les mener. Il s'agit des pestes que vous laissez encore courir dans nos champs, dans nos bois, dans nos pâtures.
Mais puisque guerre il doit y avoir, le monarque doit en prendre la tête.
Oui, monsieur Therry, votre résolution est belle et utile, née sans doute à l'aurore et morte peut-être au crépuscule – vous l'aurez cependant fait vivre, ce que vivent les roses, à moins que nous n'entendions Mme la secrétaire d'État Bérengère Abba essaimer jusqu'à nous, jusqu'à vous, le doux murmure de son approbation.