C'est la raison pour laquelle, monsieur le secrétaire d'État, nous vous disons aujourd'hui qu'il n'est pas nécessaire de vous donner un blanc-seing absolu au-delà d'une échéance électorale primordiale pour l'ensemble de nos concitoyens. Vous n'avez pas les éléments pour le justifier. Rien, à l'heure actuelle, ne justifie en effet que l'on prolonge l'état d'urgence jusqu'au 31 juillet 2022.
Le président du groupe majoritaire nous a reproché ce matin, sur un grand média, de ne pas être mobilisés sur ce sujet parce que j'étais seul en commission des lois. Je vous rappelle que ma seule voix a suffi à faire sauter le passe sanitaire en commission ,