Avec tout le respect et la sympathie que j'ai pour votre personne et pour vos compétences, monsieur le secrétaire d'État, nos institutions sont ainsi faites qu'il y a dans ce pays un ministre des solidarités et de la santé et qu'étant député, je ne pourrai pas demain débattre avec lui au Sénat. Je ne comprends donc pas qu'il ne soit pas là, ce soir, pour discuter des libertés publiques dont pourront jouir les Français, déjà inquiets, dans les huit prochains mois.