et nous imposent de garder des outils permettant de gérer la crise – ce que vous, vous ne voulez pas. Car c'est ceci que vous proposez, à travers ces amendements de suppression : nous désarmer dans les mois qui viennent, alors que cette crise reste une réalité, ce que nos concitoyens et concitoyennes comprennent parfaitement au quotidien.
Enfin, c'est un problème de droit : nous débattons ici de la prorogation non pas de l'état d'urgence sanitaire – vous le savez parfaitement – mais du cadre juridique qui permettrait de le décréter, au cas où nous en aurions besoin.