À ma connaissance, il ne s'agit pas d'exproprier des personnes. À Rio, le cas était différent – ce n'était pas du tout le même projet de candidature. Ces mesures d'expropriation existent déjà dans notre droit. Ce sont des mesures dérogatoires et d'intérêt général. Refuser d'y avoir recours, c'est être, au fond, contre la candidature : si l'on veut terminer le chantier à temps, ces mesures sont nécessaires.