Le groupe UDI et indépendants avait également déposé un amendement ; je souscris donc naturellement à la défense du dispositif proposé. Je comprends l'argument du rapporteur général. En même temps, le saut entre le noir et le vert – la phase de brunissement – doit aussi s'accompagner d'une politique en faveur de ce carburant qui représente tout de même un potentiel de 850 millions de litres. Il faut faire évoluer une technique qui est maîtrisée et qui continue d'avancer, grâce à des propositions fiscales et budgétaires tournées vers un verdissement que nous souhaitons tous.