Il s'agit de défendre le bioéthanol de résidus, notamment celui de la betterave, fait à partir de la mélasse. Le bioéthanol de résidus est produit à partir de matières premières locales qui ne sont pas impliquées dans la déforestation, il faut le souligner – ce n'est pas comme le bioéthanol de l'huile de palme. Il permet de décarboner immédiatement le parc de voitures à essence en améliorant son taux d'incorporation, tout en favorisant le pouvoir d'achat des Français. Des solutions permettent notamment d'envisager des boîtiers de conversion pour utiliser le bioéthanol.