C'est même le moteur principal de l'engagement politique de nombre d'entre nous, membres de la commission des affaires culturelles et de l'éducation, et l'objet de nos travaux parlementaires, relatifs à la scolarisation dès 3 ans ou aux cités éducatives pour ne citer que deux exemples.
Mais nous sommes convaincus que ce n'est pas Parcoursup qui provoque ces inégalités. Nous pensons au contraire que cette procédure nationale peut aider à les réduire grâce à la liberté d'accès à l'information, à la transparence sur les attendus des formations et à l'égalité de traitement des candidats.