Je réunissais les parties prenantes, nous nous mettions d'accord et cela se passait très bien. Par contre, lorsque j'étais avocat, je suis intervenu pour des communes : cela peut durer longtemps, notamment quand il y a des enquêtes publiques, en particulier lorsqu'elles sont défectueuses à telle partie.
La question n'est donc pas celle de ne pas aimer les chemins ruraux, de ne pas mesurer de leur importance pour la biodiversité – que vous avez eu raison de souligner –, mais de prendre en compte la lourdeur de l'enquête publique dans le champ qui concerne exclusivement les chemins ruraux.
Si vous faites preuve de patience, deux amendements, dans la suite de la discussion, vous démontreront que nous sommes capables d'écouter et d'avancer. À cet égard, nous sommes revenus sur une décision prise en commission des lois – sur le travail dominical – et avons rétabli un article qu'elle avait pourtant supprimé, ce qui prouve que nous savons écouter, monsieur le président Chassaigne !