toute la logique à laquelle vous avez recouru en présentant le texte est donc remise en cause par ses propos.
Je rappelle qu'hier, lors des questions au Gouvernement, le Premier ministre a adressé, au vu de la situation, un appel solennel au rétablissement de la sérénité des débats à l'Assemblée. Mais c'est vous qui êtes responsables de la crise parlementaire qui vient de survenir ! Nous demandons donc la suspension les travaux jusqu'à l'arrivée du Premier ministre. ;