C'est un amendement d'humanité, pour reprendre les termes de notre collègue Hetzel. Lors des premiers mois du confinement, en 2020, on a vu beaucoup de drames : des personnes âgées isolées, laissées à l'abandon, et des funérailles expéditives. Pour les personnes qui n'ont pas pu accompagner des membres de leur famille ou des amis mourants, ces cicatrices, loin de se refermer, resteront ouvertes à jamais. L'amendement vise à pallier ces insuffisances, relevées il y a quelques mois.