Déjà, vous auriez souhaité que la première lecture du texte soit achevée le mardi 4 janvier au matin, alors que l'après-midi même paraissait un article – pas forcément bienvenu à mon goût – stigmatisant une partie des Français et les jetant à la vindicte populaire. Je me demande si cela avait pour but d'emmerder les Français ou bien plutôt nos collègues du groupe Les Républicains, qui sont soucieux des libertés publiques – je les en remercie d'ailleurs.
Le deuxième gag, si je puis dire, c'est l'échec de la commission mixte paritaire à la suite de la publication par un certain sénateur d'un tweet. Avouons que nous ne sommes plus à la hauteur.