Je comprends bien le malaise de la majorité, tel que vient de l'exprimer notre collègue ; il est tellement gêné par la situation présente, et la majorité est tellement mal à l'aise vis-à-vis de ce dispositif de contrôle des entreprises et de cette société de la suspicion, qu'il a fallu ouvrir les archives d'il y a dix ans et donner de la crise financière de l'époque une lecture aussi partiale que partielle !