Le deuxième alinéa de l'article 17 bis supprime l'obligation, pour le deuxième membre du couple, de prendre un minimum de vingt-cinq jours de congé d'adoption. Dans la mesure où un retour précipité au travail de l'un ou des deux parents après l'arrivée de l'enfant est préjudiciable à la création du lien avec celui-ci – lien que les spécialistes considèrent comme essentiel pour son développement futur –, cette mesure ne va pas dans le sens de l'intérêt de l'enfant. Il faut donc la supprimer.