Pour résoudre un tel problème, qui touche quasiment à l'aménagement du territoire, il faut bien évidemment réguler, surtout dans le secteur de la santé publique, financé pour 90 % par de l'argent public, de l'argent socialisé, celui de la sécurité sociale, de nos cotisations !
Vous qui aimez rappeler que droits et devoirs vont de pair, pourquoi refusez-vous que les droits qu'octroient des études de médecines s'accompagnent de devoirs, au moins temporaires, vis-à-vis de la République ? De nombreuses professions sont déjà soumises à de telles obligations – qu'il s'agisse des policiers, des pompiers, ou des enseignants. Il faut donc réguler.