Nous considérons que le changement de nom est un acte grave, qui exige une période de réflexion. Nous proposons que cette période soit d'une durée d'un an. J'y insiste : cela ne peut se régler par un simple formulaire qu'on remplit et qu'on renvoie le lendemain. Et ce, d'autant plus que votre proposition de loi interdit le droit à l'erreur ; si j'ai bien compris, en effet, on ne peut ainsi modifier son nom qu'une fois dans sa vie – mais M. le rapporteur me le confirmera.
Si on change de nom à 18 ans et qu'on estime plusieurs années plus tard avoir commis une erreur, il ne sera plus possible de la corriger ;…