Monsieur Breton, vous n'êtes pas l'arbitre des élégances : ne me donnez pas de leçons de pudeur ! Examiner un texte sans envisager – et parfois avec émotion – ses conséquences pour nos concitoyens, faire du droit pour le droit, cela n'a pas beaucoup de sens. Les Français jugeront – ce n'est pas plus compliqué que cela. Nous souhaitons débloquer une situation difficile et vous ne voulez pas l'entendre : tant pis pour vous. Chacun jugera. Mais ne me donnez pas de leçons de pudeur ou d'impudeur. Tout cela n'est pas de mise ici et je l'accepte d'autant moins que, je le répète, vous n'êtes pas l'arbitre des élégances. Je me garde bien, quant à moi, de vous donner des leçons de maintien.
Quant à vous, madame Ménard, je me permets de vous dire que vous n'avez pas été attentive – ce qui est rare. En effet, nous avons dit que le changement supposait soit l'accord des parents, soit le recours au juge, et nous avons même précisé que la saisine du juge serait à la charge du parent qui conteste, ce qui me semble assez juste.