Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, mesdames, messieurs les députés, je vous rappelle que dans cette instance nous débattons et que l'expression des différents points de vue est légitime. Ne jetez pas l'anathème les uns sur les autres – personne n'est visé en particulier par mon propos : tout le monde est concerné. Ce texte, comme beaucoup de textes sociétaux, ne suscite pas l'unanimité, monsieur le rapporteur. C'est un fait, admettez-le. Acceptons les positions respectives des uns et des autres ; ce n'est pas le premier texte sur lequel il n'y a pas de convergence. Faisons descendre la pression et poursuivons les débats.