Je songe à ATD Quart Monde, à La Voix des adoptés, à la Fédération française des organismes autorisés pour l'adoption (FFOAA), ou encore au Mouvement pour l'adoption sans frontières (MASF). Je rappelle enfin l'avertissement formulé par la magistrate honoraire Marie-Christine Le Boursicot, déjà citée lors de l'examen du texte en nouvelle lecture : attention à ce que cette absence de consentement ne conduise pas à ce que l'adoption puisse être contestée à tout moment, y compris des années plus tard, ce qui plongerait l'enfant au cœur de conflits douloureux.