Il s'agit, en l'occurrence, de former les commissaires-priseurs « en même temps » – je sais que vous n'aimez pas ce concept – en droit et en histoire de l'art. Exercer ce métier mobilise d'ailleurs davantage de connaissances en art qu'en droit : même s'il y a une base juridique, dès lors qu'elle est acquise une fois pour toutes, ce qui compte, c'est l'évaluation des objets que l'on vend et l'évolution de sa connaissance de la chose artistique.
Je note – et cela me désole un peu – qu'alors que nous vous avons répondu de notre mieux tous les deux, vous reprenez la parole pour développer un tout autre argument, qui ne présente plus de lien avec l'amendement que vous aviez déposé initialement. Cela s'explique-t-il par une difficulté à admettre que nous avons raison ?