Monsieur le député, c'est une chose que vous ne vouliez pas aller de l'avant et faire évoluer le droit pour tenir compte des évolutions récentes de la société parce que vous ne voulez voir ni le présent ni l'avenir. C'en est une autre de chercher à retourner vers le passé, ce que vous nous proposez avec ces deux amendements. C'est même de nature à m'inquiéter un peu.
À la faveur de cette intervention, j'aimerais saluer des citoyens présents dans les tribunes qui attendent ce texte, qu'ils ont appelé de leurs vœux. Cette proposition de loi vient du terrain, des vrais gens.