À mon tour, je voudrais saluer les membres du conseil municipal des enfants de Troyes, comme vous l'avez fait très gentiment, monsieur le ministre.
Pour en revenir au texte, sans être rétrograde, je trouve que vous allez faire courir un vrai risque aux fratries. L'existence de différents noms est perturbante. Si nous voulons protéger la famille et les enfants, attendons que ceux-ci soient majeurs avant de leur ouvrir une telle possibilité.