De ce côté-là, pas d'état d'âme ! Alors, quitte à m'attirer les foudres de nos « droits-de-l'hommistes » de salon – ou plutôt d'Assemblée – , je leur répondrai qu'être contrôlé quand on n'a rien fait, quand on n'a rien à se reprocher, ne me semble pas attentatoire aux libertés, mais est en revanche bien utile pour assurer notre sécurité. Oui, décidément, nous ne sommes pas dans le même camp !