Madame la députée, comme je l'ai dit au cours de la discussion générale, vous développez un point de vue radicalement opposé à celui que nous avons défendu dans ce texte. Il me semble que le rôle de la CNIL tel que vous souhaiteriez le voir défini est totalement différent de celui qui découle logiquement de la philosophie de ce texte, qui opère un basculement du contrôle a priori vers le contrôle a posteriori.