Les deux autres amendements visaient à lutter contre les procédures bâillons, c'est-à-dire les actions abusives d'entreprises ou de particuliers en diffamation contre les enseignants-chercheurs et les chercheurs dans le cadre de leurs activités d'enseignement ou de recherche. L'un d'eux tendait à transposer des recommandations adressées par la commission dite « Mazeaud » au Gouvernement lors de la précédente législature.