Je serai bref. Monsieur le ministre, je me permets d'établir un parallèle entre la situation prévalant en France et celle des établissements français situés à l'étranger. Je représente en effet les Français de l'étranger. Il s'agit selon moi d'un bon article.
Quatre-vingts pour cent des établissements français à l'étranger sont considérés comme privés, même s'ils relèvent de l'AEFE – Agence pour l'enseignement français à l'étranger – , et intègrent dans leur stratégie les conseillers consulaires, qui sont les responsables territoriaux des Français à l'étranger.