Madame la ministre, vous avez évoqué la clarté des débats lors de l'examen des quatre amendements tendant à la suppression de l'article. À présent, vous parlez de lisibilité. Pourtant, vous retardez les débats sérieux et techniques de six à douze mois. En réalité, vous nous présentez une coquille vide dont les interrogations qu'elle suscite demeurent sans réponse.
Déjà, hier, il s'agissait de créer une entreprise plus unifiée, mais on en ignore le périmètre et les prérogatives. Vous proposez que nous nous donnions du temps et que nous en reparlions dans douze mois, mais vous ne dites rien de l'avenir des milliers de filiales de la SNCF.