Ce sujet sera donc traité au cours du quinquennat, avec l'objectif de remettre durablement, et avant 2023, le système ferroviaire à l'équilibre.
Tout cela, je tiens également à le souligner, s'inscrit dans une politique globale de la mobilité. Le Gouvernement croit au transport ferroviaire et à son formidable potentiel pour mieux répondre, demain, aux besoins de mobilité de nos concitoyens, et pour offrir des alternatives à la voiture individuelle. Tout cela pourra se faire, notamment, grâce aux outils contenus dans la future loi d'orientation des mobilités dont nous débattrons prochainement.