Mes chers collègues, vous relancez le débat autour des petites lignes alors que l'article 1er bis nous a déjà donné l'occasion d'en discuter longuement.
Toutes les garanties ont été posées et les modalités prévues, pour maintenir ces lignes en cas d'insuffisance de la concurrence – je vous renvoie à nouveau à l'article 1er bis, qui traite de la péréquation des péages et prévoit des assurances en matière d'aménagement du territoire et de protection des lignes les moins rentables. Hélas, vous vous obstinez à revenir à la charge.
Il appartient par ailleurs aux régions de s'emparer pleinement de leur rôle en déterminant les politiques de mobilité sur leur territoire et en définissant les dessertes qu'elles voudront conserver.
Avançons à présent dans ce débat, si vous le voulez bien.