Je tiens à compléter les propos de M. Sermier, car j'y souscris complètement – même si, pour notre part, nous ne sommes pas favorables à la cette réforme. Il s'agit ici des petites lignes, c'est-à-dire de la ruralité. On dit souvent que la ruralité est la plus oubliée, parce que tout y est laissé à l'abandon : les lignes, les bureaux de poste ou les écoles.