L'amendement pose plusieurs questions. Joue-t-on à armes égales avec les grands acteurs internationaux du numérique ? Les sanctions prévues sont-elles vraiment de nature à les contraindre ? Peuvent-elles leur faire peur ? Le pourcentage de 4 % peut paraître réduit, mais, appliqué à Facebook, il représente une sanction pouvant atteindre 1,6 milliard de dollars.