Notre collègue Philippe Gosselin appelait à débloquer les universités. Il y a deux manières de le faire : soit en envoyant les forces de l'ordre, ce qui a commencé à être fait et qui n'est pas une bonne nouvelle ni une bonne façon de traiter les jeunes qui se mobilisent, à juste raison, dans ces facultés pour leur avenir ; soit en ouvrant une discussion, ce qui n'a pas été le cas, même lors de l'élaboration du projet de loi.
Les étudiants ne sont pas les seuls à s'opposer à cette réforme : beaucoup d'enseignants font de même, …