Nous sommes en pleine schizophrénie. M. le ministre d'État et Mme la rapporteure viennent de reconnaître que certaines personnes ne sont ni régularisables, ni expulsables. Que fait-on pour ces hommes et ces femmes ? Nous les laissons entre terre et ciel ?
La loi a vocation à résoudre les problèmes, pas à en créer. Nous avons la possibilité de créer un droit. Notre groupe, soutenu par d'autres, insiste pour qu'une solution soit apportée à ces hommes et ces femmes qui ne sont ni expulsables, ni régularisables.