C'est ce que le gouvernement burundais a qualifié de campagne de moralisation de la société.
Sachez, monsieur, que les peines encourues sont des peines d'emprisonnement d'une durée d'un à trois mois de prison et une amende comprise entre 100 000 et 200 000 francs burundais. Les personnes récalcitrantes sont emprisonnées jusqu'à ce qu'elles aient régularisé leur situation.