Les réponses que nous apportons à cet amendement et au suivant témoignent de notre volonté de conjuguer un objectif d'humanité en respectant les parcours de vie, tout en protégeant le droit d'asile en évitant qu'il ne soit dévoyé. C'est pourquoi nous avons posé une condition de durée d'un an.
Porter ce délai à deux ans serait totalement disproportionné, si l'on tient à respecter un objectif de réunification familiale dans un esprit d'humanité. Avis défavorable.