Ce délai ne présente que des inconvénients dans la vie quotidienne des intéressés, et aucun avantage. Un exemple : le conjoint ne peut pas travailler et, comme l'indique très justement l'exposé sommaire de l'amendement, le couple ou la famille ne peut pas avoir accès à un logement social. On maintient donc des familles dans des situations de précarité que l'on crée avec de tels délais.
Ce délai n'est pas correct. Il est parfaitement inique et je pense qu'on aurait intérêt à revoir la situation. C'est, finalement, un nouveau cas de « ni-ni » : ces personnes ne sont ni expulsables au titre de la convention, ni régularisables.