Les situations que vous venez de dénoncer découlent du droit existant ; c'est la réalité d'aujourd'hui. Vos amendements visent à modifier, non pas les mesures prévues par le projet de loi, mais le droit existant. D'ailleurs, la disposition en cause est ancienne et, cher Jean-Michel Clément, chère Laurence Dumont, la question aurait pu se poser il y a quelques mois alors que nous faisions tous les trois partie de l'ancienne majorité.