Voilà longtemps – cela remonte à Roland-Garros – que, comme c'est le cas depuis le début de l'examen de ce texte, je n'avais autant exercé mes cervicales à regarder à droite, voire à l'extrême droite, puis à gauche et à l'extrême-gauche. Cela faisait longtemps que je n'avais à ce point mesuré que travailler sur les problèmes de manière équilibrée – j'y reviendrai – est chose ardue. Talleyrand estimait que, pour distinguer les situations – et j'ajouterai les parcours – , il faut les traiter côte à côte pour mieux les comparer. Je pense qu'il y a là matière à réflexion pour notre débat.