Si 40 000 personnes devaient être régularisées, cela ne pourrait pas se faire selon des critères vraiment définis ; il ne pourrait y en avoir que de quantitatif. Qui aura droit à l'octroi d'une régularisation tombée du ciel, fruit d'une négociation qui ne devrait pas avoir cours dans le champ de la République ?
Monsieur le ministre d'État, pouvez-vous enfin nous répondre ?