À moins de sortir la Guyane de l'article 73 de la Constitution qui consacre le principe de l'identité législative, il nous faut trouver une mesure intermédiaire entre l'humanisme et la fermeté pour éviter de déshumaniser la relation que notre république entretient avec le reste du monde. Je regrette par ailleurs que les parlementaires de Guyane n'aient pas été associés à la réflexion concernant la rédaction de ce décret. Mais j'aurai l'occasion de présenter un amendement...