Ce qui fait aujourd'hui l'inhumanité de nos procédures, c'est le fait que des gens doivent attendre deux, voire trois ans sans savoir s'ils auront ou non droit à l'asile.
Sur cet article 5, il y a beaucoup de questions. Je le comprends – il y en avait déjà eu beaucoup en commission. Je signale d'ailleurs que lors de la réforme de 2015, il y avait déjà eu beaucoup de discussions sur la procédure accélérée.