Je salue le soutien que nous apportent MM. Goasguen et Di Filippo ! Écoutez-les, car ils viennent de tenir des propos très pertinents.
Je ne veux pas allonger les débats, mais, madame la rapporteure, monsieur le ministre d'État, je vous ai connus très bavards depuis le début des cinquante heures que nous avons passées ensemble. Or, sur un sujet qui mériterait d'être débattu, vous faites preuve d'un silence quasi coupable.
C'est un vrai problème que nous vous soumettons. Votre mesure pourrait mettre en danger des personnes, mais vous balayez d'un revers de la main la solution raisonnable que nous vous proposons.
Nous n'acceptons pas qu'une forme d'esclavage moderne se développe au nom du droit pour la bonne bourgeoisie d'employer des gens à qui elle verserait un peu d'argent de poche.