Les micropartis, qui ne bénéficient ni de l'aide publique, ni de dons ou cotisations de particuliers, sont exonérés de l'obligation de tenue d'une comptabilité. Le nombre de ces micropartis – le chiffre ne fait pas l'objet d'un consensus – se situe entre 450 et 491. Ce sont quelques centaines de micropartis qui échappent aux règles communes. L'amendement vise donc à les soumettre aux mêmes obligations que celles qui s'imposent à l'ensemble des partis politiques.