J'appelle votre attention sur la situation des étrangers relevant des accords bilatéraux, notamment de l'accord franco-algérien. Cet accord ne renvoie pas expressément à l'application du CESEDA pour les points dont il ne traite pas.
Cela signifie que les préconisations de l'article 33 du projet de loi ne seront pas applicables aux victimes de violences familiales ou conjugales d'origine algérienne. Il est pourtant essentiel que celles-ci bénéficient de la même protection que les étrangers venant d'un autre pays.