Je remercie notre collègue, cardiologue en coeur d'humanité, d'avoir découvert que vous aviez un coeur, monsieur le président Ferrand. Pour ma part, vous êtes tellement gonflé que je n'en doutais pas – gonflé au sens le plus noble du terme, vous l'avez compris, je ne me permettrais pas de faire usage ici de termes dévoyés.
Les intermittents du spectacle méritent beaucoup plus de respect que celui que vous leur accordez. Tout ce que je vous souhaite, c'est de ne pas être en politique un intermittent intermittent.