Monsieur le président, je ne m'associe pas aux propos agressifs qui viennent de vous être adressés. Dieu sait que nous avons des raisons de ne pas nous aimer, mais je trouve que vous remplissez convenablement ici la mission que la loi vous impartit.
Il est vrai que, dès qu'on déplaît aux Insoumis, on déclenche immédiatement des invectives et des insultes.