Nous avons été élus autant que vous, et peut-être mieux que vous, mais sans vos combines, car nous n'avons pas les médias de notre côté – 200 euros par passage, n'est-ce pas ? – ni le soutien général de l'opinion médiatique. Nous sommes seuls, et nous avons droit à la parole. Merci, monsieur le président, de nous avoir permis de le dire et de nous avoir donné la parole.